Berserk


berAujourd’hui du très très lourd. Fini de faire de la dentelle : retour sur un des seinens les plus connus, qui dure depuis 26 ans et dont plus de 35 millions de tomes ont été écoulés dans le monde.

Berserk c’est donc l’œuvre majeure du dessinateur et scénariste Kentaro Miura, manga de Dark Fantasy dont la publication a débutée en 1989 et autant prévenir tout de suite c’est une série très violente et très sombre à ne pas mettre entre toutes les mains. L’histoire se déroule dans un cadre médiéval fantastique avec une technologie équivalente à la fin du moyen-âge : le château sont légions et le gros des forces se battent avec des armes blanches et des armures même si les armes à feu rudimentaires sont présentes.
Je vais maintenant spoil salement une grande partie de la trame principale.

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Jormungand


Bien que j’aie dévoré cinq continents et bu trois océans, je suis impuissant face au ciel car je n’ai ni ailes, ni jambes, ni bras. Je suis le serpent monde. Je suis Jormungand.

C’est sur cette étrange phrase que débute la série d’animation Jormungand, produite par le studio White Fox (Stein’s Gate, Akame Ga Kill) et diffusé en 2012, notamment en France par le biais de Dybex et Wakanim. Il s’agit de l’adaptation du manga éponyme édité en 11 volumes au Japon par Shogakukan et dessiné par Keitaro Takahashi. La série est regroupé en deux saison de 12 épisodes : Jormungand et Jormungand : Perfect Order.

Si j’en parle aujourd’hui c’est que j’ai eu l’occasion d’acquérir le coffret Blu-Ray Dybex (avec notamment le guide de toutes les armes présentes à l’écran) de la série et en la re-visionnant je me suis rendu compte que même si je l’avais oubliée, il s’agit d’une série d’animation très intéressante et soignée. Mais trêves de blabla et passons aux choses sérieux : de quoi ça parle.

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Mes animes de l’été 2015


C’est l’été, il fait chaud (ou pas en Belgique) et la Japan Expo est passée, donc aujourd’hui focus sur ma sélection de cinq animé de la saison en cours, je laisse tomber l’idée du classement au passage. Je vais donc présenter cinq nouveautés que je trouve intéressantes à suivre (donc pas de Durarara par exemple pour Astre puisqu’il s’agit de la suite de la saison d’automne dernier, ni de Working par exemple), et bien sûr il en reste d’autres qui méritent le coup d’œil en dehors de ces cinq 😉 .

L’anime des bad guys : Gangsta

La ville d’Ergastulum est une cité contrôlée par les diverses mafias et gangs, un peu à la Roanapur de Black Lagoon :dans cette ville c’est un peu la débrouille tous les jours et la police est complétement dépassée. C’est dans ce contexte qu’on suit Nicolas Brown et Warwick Arcangelo, duo de tueur à gages indépendants aussi opposés dans leur caractère qu’ils sont complices dans leur travail : Warwick est exubérant, vantard et coureur de jupon alors que Nicolas est des plus taciturnes. De plus ce dernier est un « indexé », c’est-à-dire un ancien mercenaire d’élite dont de nombreux représentant œuvre un peu partout dans la vaste cité.

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Kill La Kill


 Kill_la_Kill_logo.svgAujourd’hui, retour sur un des titres qui m’a le plus marqué ces dernières années, un titre de grande qualité qui comme toute œuvre d’importance ne laisse personne indifférent : on adore…ou on déteste ! Et maintenant c’est partie pour une bonne tranche de folie.

Kill la Kill est une série de 24 épisodes sortis pendant les saisons automne 2013 et hiver 2014 et produit par le studio Trigger. Le studio Trigger (fondé en 2011) est composé d’ancien membres de la Gainax ayant notamment sévis sur le célèbre Gurenn Lagann, un autre anime complétement déjanté et dont Kill la Kill est désormais considéré comme l’œuvre majeure (bien plus connue que les autres réalisations de Trigger comme Little Witch Academia, Inferno Cops, Ninja Slayer ou Inō-Battle wa Nichijō-kei no Naka de). La série a été diffusée en France sur la plateforme Wakanim, est désormais éditée en support physique par @anime et est disponible désormais sur Netflix pour ceux qui y sont abonnés. A noter qu’il existe une version manga (adaptation de l’anime et non l’inverse) disponible chez les éditions Kana en 3 tomes.
Bon je parle, je parle…mais putain y a quoi dans Kill La Kill ?

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Girls und Panzer


Get crazy ! Aujourd’hui un pitch tel que seuls les japonais savent en faire. Contexte de base, un lycée pour fille jusque-là circulez on a déjà donné. Point numéro deux, une nouvelle élève plutôt renfermée sur elle suite à un traumatisme passé arrive dans cette nouvelle école et va se faire des amis par le biais de son club, là encore normal…

Sauf que mon gars le club c’est un club de pilotage et de combat de chars d’assauts de la seconde guerre mondiale aménagés pour protéger les membres d’équipage durant les combats. Ah et j’oubliais, le lycée il est sur un fucking porte-avion ! Vous avez bien compris, on va donc assister à une espèce d’inter-lycée opposant des lycéennes aux commandes de Panzers de plusieurs dizaines de tonnes. Du coup on s’attend à quoi ? Pantsuuuu, Boooobs et bim en fait même pas : malgré le pitch si vous cherchez du fan service qui tâche c’est raté, ici on parle tank, on montre et on vit tank.

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