Le retour d’une légende : Onizuka


GTO_Paradise_Lost_01_JKT.inddAttention, attention ! Cet article porte sur du lourd, je parle du professeur japonais le plus connu : le très fameux OnizukaCe personnage de manga a été inventé par Tôru Fujisawa

GTO : Paradise Lost 

En effet, un nouvel opus de la série va sortir le 2 septembre chez Pika éditions. Onizuka débute le manga en prison … à priori à cause d’événements qui auraient eu lieu dans sa nouvelle classe, Onizuka commence alors à raconter ce qui s’est passé.

Notre héros reprend l’année scolaire mais cette fois il obtient une place de professeur principal assistant au lycée. Sa classe est composée d‘idols, c’est à dire d’acteurs, tout aussi insupportables que ceux qu’il a eu à gérer au collège. Encore une fois Onizuka est mis à mal et doit regagner la confiance de ses gosses. On retrouve aussi, à priori, quelques personnages de GTO comme le fameux proviseur adjoint.

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Jormungand


Bien que j’aie dévoré cinq continents et bu trois océans, je suis impuissant face au ciel car je n’ai ni ailes, ni jambes, ni bras. Je suis le serpent monde. Je suis Jormungand.

C’est sur cette étrange phrase que débute la série d’animation Jormungand, produite par le studio White Fox (Stein’s Gate, Akame Ga Kill) et diffusé en 2012, notamment en France par le biais de Dybex et Wakanim. Il s’agit de l’adaptation du manga éponyme édité en 11 volumes au Japon par Shogakukan et dessiné par Keitaro Takahashi. La série est regroupé en deux saison de 12 épisodes : Jormungand et Jormungand : Perfect Order.

Si j’en parle aujourd’hui c’est que j’ai eu l’occasion d’acquérir le coffret Blu-Ray Dybex (avec notamment le guide de toutes les armes présentes à l’écran) de la série et en la re-visionnant je me suis rendu compte que même si je l’avais oubliée, il s’agit d’une série d’animation très intéressante et soignée. Mais trêves de blabla et passons aux choses sérieux : de quoi ça parle.

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A Silent Voice


Comme chaque année, Japan Expo est la période où j’achète le plus de mangas de l’année (pas moins de 29 tomes cette année, répartis sur une vingtaine de séries différentes). J’en profite notamment pour débuter de nouvelles séries et je dois dire que cette année je suis tombé sur quelques très bon titres sur lesquels je reviendrais probablement au fil des semaines/mois.
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J’ai donc décidé aujourd’hui de commencer par revenir sur un titre qui m’a touché : A Silent Voice. Si la vie scolaire au Japon est très différente de la nôtre au final aussi bien dans son approche que dans son organisation, toujours est-il qu’elle est souvent idéalisée dans les mangas et animes avec des groupes de camarades soudés, des clubs passionnés et autres profs surmotivés ou bizarres. Néanmoins un certain nombre de titre cherchent aussi à traiter les difficultés rencontrés par certains élèves, étudiants. A Silent Voice fait partie de ces titres en traitant de deux problèmes : le handicap à l’école et le harcèlement scolaire (qui se traduit notamment par l’exclusion d’un individu du groupe, phénomène très présent au Japon en milieu scolaire et professionnel).

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Mes animes de l’été 2015


C’est l’été, il fait chaud (ou pas en Belgique) et la Japan Expo est passée, donc aujourd’hui focus sur ma sélection de cinq animé de la saison en cours, je laisse tomber l’idée du classement au passage. Je vais donc présenter cinq nouveautés que je trouve intéressantes à suivre (donc pas de Durarara par exemple pour Astre puisqu’il s’agit de la suite de la saison d’automne dernier, ni de Working par exemple), et bien sûr il en reste d’autres qui méritent le coup d’œil en dehors de ces cinq 😉 .

L’anime des bad guys : Gangsta

La ville d’Ergastulum est une cité contrôlée par les diverses mafias et gangs, un peu à la Roanapur de Black Lagoon :dans cette ville c’est un peu la débrouille tous les jours et la police est complétement dépassée. C’est dans ce contexte qu’on suit Nicolas Brown et Warwick Arcangelo, duo de tueur à gages indépendants aussi opposés dans leur caractère qu’ils sont complices dans leur travail : Warwick est exubérant, vantard et coureur de jupon alors que Nicolas est des plus taciturnes. De plus ce dernier est un « indexé », c’est-à-dire un ancien mercenaire d’élite dont de nombreux représentant œuvre un peu partout dans la vaste cité.

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Kill La Kill


 Kill_la_Kill_logo.svgAujourd’hui, retour sur un des titres qui m’a le plus marqué ces dernières années, un titre de grande qualité qui comme toute œuvre d’importance ne laisse personne indifférent : on adore…ou on déteste ! Et maintenant c’est partie pour une bonne tranche de folie.

Kill la Kill est une série de 24 épisodes sortis pendant les saisons automne 2013 et hiver 2014 et produit par le studio Trigger. Le studio Trigger (fondé en 2011) est composé d’ancien membres de la Gainax ayant notamment sévis sur le célèbre Gurenn Lagann, un autre anime complétement déjanté et dont Kill la Kill est désormais considéré comme l’œuvre majeure (bien plus connue que les autres réalisations de Trigger comme Little Witch Academia, Inferno Cops, Ninja Slayer ou Inō-Battle wa Nichijō-kei no Naka de). La série a été diffusée en France sur la plateforme Wakanim, est désormais éditée en support physique par @anime et est disponible désormais sur Netflix pour ceux qui y sont abonnés. A noter qu’il existe une version manga (adaptation de l’anime et non l’inverse) disponible chez les éditions Kana en 3 tomes.
Bon je parle, je parle…mais putain y a quoi dans Kill La Kill ?

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